C’est aussi la rentrée pour les chroniques de VHS porno !
Oui, après 5 mois d’absence…
Pendant le confinement, on avait grave le temps de mater des VHS et de vous faire de belles chroniques. Les plus médisants diront même qu’on avait que ça à faire !
Mais non, en bonnes grosses feignasses assumées que nous sommes, on n’a rien branlé pendant ce confinement (comprenez cette phrase au sens littéral)
Les premières semaines étaient stressantes. Alors, on a picolé, on a augmenté les doses, on a accéléré le processus… (vous l’avez celle-là ?)
Dans les bonnes surprises de la rentrée, il y a notre YouTube qui une fois de plus, s’est fait striker sans explication. Tout était nickel, même pas un bout de téton, pas un gros mot…
Officiellement, elle a été supprimée pour “Escroquerie/ SPAM/ tromperie” on va laisser tomber Youtube, l’idée de la chaîne YouTube c’était juste d’amener du monde ici. On a pensé un instant à ouvrir un compte PornHub, mais comme on répète à longueur de chroniques que c’est eux qui ont tué le porn…
La deuxième surprise de la rentrée, c’est notre serveur qui a planté, la chronique de la doctoresse a des gros seins aurait dû sortir il y a déjà deux semaines !
Revenons à ce confinement, étant des gros privilégiés, grâce à tout le fric que nous rapporte ce site avec Tipeee, on vit entre forêt et bord de mer et on n’a pas de voisins, du coup, ça aurait été un peu ridicule d’applaudir à la fenêtre… On voulait soutenir à notre manière en rendant hommage aux soignants avec une VHS sur ce thème. C’est pourquoi nous avions prévu de chroniquer “La Doctoresse a des Gros Seins” ouais c’est une manière comme une autre de les soutenir…
Bon bah on a 5 mois de retard, mais nous voilà en forme, et promis on va essayer d’être plus régulier.
On y va pour les gros nichons ?
Présentation de La Doctoresse a des gros seins
La Doctoresse a des gros seins est un film de 1988 réalisé par Alain Payet sous le pseudonyme John Love. Le film est sorti au cinéma le 19/10/1988
Voici l’affiche du film tiré de l’excellent livre Pornographisme
Cette VHS est une des meilleures ventes de VHS porno dans les années 80. Le film est considéré comme le premier de type “Hard Crad”. Du pré gonzo si vous préférez. On va droit dans le but, Alain Payet ne s’est pas fait chier ni pour les décors ni pour l’éclairage et encore moins pour le scenar.
Une autre particularité du “Hard Crad” c’est des acteurs infirmes, des nains, des obèses ou encore des femmes à barbe ainsi que des pratiques “extrêmes” fistfucking, urologie, rasage etc.
Pour “La doctoresse a des gros seins” on s’arrête aux nains avec le retour de Désiré Bastareaud aka Giant Coocoo qu’on a déjà croisé dans Les nains préfèrent les blondes, au rasage en gros plan du pubis d’une actrice très poilue et “branlage” de la vieille bite molle d’Etienne Jaumillot un ancien complice d’Alain Payet dans les années 70.
Pour les acteur·ice·s crédité·e·s sur la pochette on ne trouve rien sur Corinne Brion et Monique Carel ni Samantha Strong. J’ai mis les Xperts sur le coup.
On lit dans le Dictionnaire des films français pornographiques & érotiques de longs métrages : 16 et 35 mm qu’il pourrait s’agir de Sandrine Marove ou Pénélope Valentin qui elles ne sont pas créditées :
Vos informations sur ces actrices sont les bienvenues.
Pour les acteurs, on peut noter la présence du très prolifique Jean-Pierre Armand et ses 36 ans de carrière. Il joue d’ailleurs deux rôles dans ce film, il est à la fois le docteur JPA, et le fils de M. Merle. Un acteur très prolifique est présent au casting en la personne de Philippe Soine qui après 32 ans de carrière est toujours actif !
Ce film a été un gros succès et a connu 3 suites en 1992 avec Tabatha Cash en 1996 avec Élodie Chérie et en 2001 avec Ovidie.
L’analyse de La Doctoresse a des gros seins par Vagina Sky
Je n’ai pas applaudi une seule fois à 20h pour rendre hommage aux soignants. Je ne l’ai pas fait car seuls des hiboux, musaraignes, chats et autres biches m’auraient entendue (oui je vis dans la forêt!). Comme je ne suis pas du genre à vouloir déranger le voisinage, j’ai laissé au placard casserole et cuillère en bois. A la place, avec l’ami Phallus, on avait décidé d’éplucher tous les films ayant pour toile de fond l’univers médical pour soutenir les soignants à notre manière. Comme on n’est pas du genre à respecter ce qu’on dit, on n’a strictement rien fait. C’est dommage car on avait vraiment envie de profiter du confinement pour vous tenir un peu compagnie. Si ça peut vous rassurer, notre maison est toujours aussi bordélique, le jardin toujours aussi mal entretenu (j’ai pourtant scié deux arbres qui gênaient), et je n’ai fait que trois leçons d’espéranto (une fourchette se dit forko bande de pétasses).
Quoi qu’il en soit, la VHS était posée depuis un moment sur la table du salon, il n’y avait qu’à la mettre dans le magnéto. Après visionnage, je me suis rendu compte que j’avais perdu une heure devant un film qui ne m’a pas intéressée et que la VHS aurait dû rester où elle était. Vous devez vous dire « t’avais qu’à regarder pendant le confinement au moins tu avais du temps à tuer ». Je répondrai : non. Et de toute façon, là n’est pas la question.
Après l’excellent Dr Blacklove, on a certaines attentes quant aux prochains films porno dans l’univers médical. La Doctoresse a des gros seins, c’est exact et je dirai des seins tout à fait convenables selon mes critères, mais cela n’est pas suffisant. Ce film m’a semblé aussi long que le confinement bordel de merde.
Tout d’abord, il s’agit d’un film hard-crad et ce n’est pas un genre dont je raffole.
Pour l’histoire, je pense que vous l’aurez deviné… Des patients malades du cul vont se faire tringler à l’hôpital pour aller mieux ! Et devinez quoi ? Ben ils guérissent tous ces obsédés du fion ! Ouais, parce que ça tourne pas mal autour du trou d’balle cette histoire.
Niveau décors, on a droit au strict minimum, mais ça fait le job, un hall d’accueil, un escalier et des chambres à la tapisserie détcheulasse. Côté acteur, on essaye de nous prendre pour des jambons avec un type qui incarne deux rôles. Concernant le jeu des actrices, et vas-y que ça remue la tête comme une conne dans tous les sens alors qu’on n’a même pas encore mis la main au panier. Ça m’agace putain ! J’ai failli balancer le chat dans la TV, mais après, j’ai pris conscience que j’aurais pas les moyens d’en racheter une parce que j’ai plus un rond depuis le confinement.
La musique a des chances de vous taper sur le système. On passe sans transition d’une musique avec saxo à des merdes tantôt électro, tantôt rock. Très peu de scénario, voire pas du tout. Sauf quand un acteur incarnant un toubib fan de boite à merde s’affaire sur une patiente. Là, on a droit à des grands moments. Un vieux monsieur se faisant hospitaliser apporte une petite touche comique au film. Pas très atteint ce patient car une petite branlette à son petit oiseau tout ratatiné et des coups de nichons dans la gueule suffiront à le soigner. Pour l’aspect technique, rien de spécial à dire, les plans sont maîtrisés. On notera tout de même quelques faux raccords. Pour ce qui est des scènes, on entre dans le vif du sujet dès le départ et tout s’enchaînera par la suite. Voilà voilà… Bien, bien, bien… Bon ben à bientôt
L’histoire de La Doctoresse a des gros seins racontée par Phallus Gump
Le film commence par une branlette de queue, suivie d’une pipe et d’une branlette espagnole dans les gros seins de la doctoresse interprétée par Marie-Christine Covi.
Pendant ce temps, une patiente aux seins nus appelle la réception.
La doctoresse frotte ses grosses mamelles sur la verge résolument décidée à la faire gicler.
La patiente inconnue et aux seins nus continuent d’appeler, mais la réceptionniste a laissé le téléphone pour ne plus être dérangée et se rend à l’étage.
La doctoresse toujours occupée à sa branlette arrive à faire jaillir le manche.
Son travail terminé elle redescend à l’accueil de cette drôle de clinique les seins nus et en portes jarretelles.
Elle raccroche le combiné et va rendre visite à la patiente aux seins nus qui répond au nom de Sophie
Cette dévouée professionnelle de la santé commence par lui prendre le pouls (environ 2 secondes) et commence à lui embrasser les seins et l’embrasser pour la calmer.
Elle descend avec sa langue sur tout le corps de Sophie pour arriver entre ses cuisses elle remonte à sa bouche pour un gros roulage de pelle et redescend s’attaquer à cette grosse minette bien poilue.
La doctoresse très consciencieuse, cherche le clito de la patiente qui a l’air d’apprécier ce traitement. En suite, la doctoresse lui met des doigts tout en se caressant.
Nous pouvons noter, que la grosse touffe de la patiente est également sur sa tête.
Le traitement de la praticienne a été efficace, les deux femmes jouissent en cœur.
Dans la scène suivante, M. Merle interprété par Etienne Jaumillot s’adresse à la doctoresse (toujours moitié à poil) :
“ah ma chère doctoresse on m’avait tellement parlé de votre clinique, on m’en avait tellement dit de bien que force est de constater que c’est la vérité. Et oui, vous avez chez vous mon fils depuis quelques semaines, le pauvre souffrait de défaillance sexuelle et vous l’avez guéri. C’est un homme nouveau changé à tel point qu’il ne veut plus quitter cet établissement.”
En effet, nous avons une image de son fils (Jean Pierre Armand) jouant de la quéquette, il a l’air en forme
“Moi aussi j’aimerais profiter de vos traitements Mlle”
La doctoresse, dit que dans sa clinique, il n’y a que des réussites tout en exhibant ses grosses loches aux yeux d’un papa comblé.
“Oh ! Je pense que je vais me plaire chez vous”.
Dit M. Merle en plongeant sa tête dans les gros nibards.
La doctoresse dit à une infirmière, qu’elle va lui présenter un nouveau patient très particulier.
La standardiste redescend prendre son poste tout en se rhabillant. Et nous découvrons pour la première fois un nouveau docteur interprété par Jean-Paul Bride qui, après avoir pris le pouls de M. Merle, lui conseille de se mettre des suppositoires, il y a que ça de vrai les suppositoires !
Ce même docteur va rendre une visite sexuelle à une patiente (Catrine) :
M. Merle traine toujours dans les couloirs, il demande à une infirmière si elle n’a pas vu son fils, elle lui répond par la négative et lui montre sa culotte.
Cette infirmière continue son travail et rend visite à un patient nain interprété par Desire Bastareaud. Elle le surprend à se branler sous les draps en lisant New Look.
“Alors monsieur Desiré, je ne vous avais pas encore vu dans cette situation-là ! Qu’est-ce qui vous arrive ?
-Comme ça, vous allez pouvoir m’aider ma petite chérie !”
Cette infirmière très dévouée se met tout de suite à l’ouvrage et commence à le sucer.
Lui aussi veut la “sucer”. Ce qui est pratique, c’est qu’il n’a pas besoin de se pencher. Il se glisse entre ses fesses et commence à manger l’abricot de la dame, il déguste ce fruit poilu dans toutes les positions !
Le fils de M. Merle rentre dans cette chambre et prend en levrette cette infirmière alors que notre nain se fait sucer. Une fois la soignante sur le dos, toujours limée par la teub du fils Merle, Desiré lui lèche les gougouttes. Pour finir, elle se fait jouir dans la bouche, M. Desiré, lui, a disparu…
Le docteur interprété par Jean-Paul Bride retrouve sa patiente Catrine pour la préparer pour son opération…
Le docteur JPA arrive, bon en fait c’est le fils de M. Merle… Il est à la fois patient et docteur… Ça arrive…
“ouvrez la bouche, fermez les yeux”
Vous devinez ce qu’il met dans la bouche de Catrine ? Je pense qu’elle aussi a deviné en tout cas elle s’exécute et suce le gros mandrin du docteur.
Bon bah après c’est plus dans la bouche, mais dans cette chatte fraîchement rasée qu’il glisse sa turgescence pour qu’elle finisse dans sa pastoche comme dirait le docteur Bride.
Si son pubis est bien rasé, la future opérée garde les dessous de bras bien poilus !
Le docteur JPA pénètre sa vulve avec ses doigts pendant qu’il l’encule, une fois qu’il retire ses doigts, c’est elle qui se branle toute seule comme une grande toujours la bite au cul.
Le docteur finit par éjaculer dans ce cul et lèche la langue de la “malade”.
On retrouve ensuite, le docteur JPA qui a repris le rôle du fils de M. Merle, il raconte à son père :
“les filles ici, je n’arrête pas de me les faire. Un paradis, un véritable paradis ! Et la doctoresse, tu as vu la doctoresse comme elle est belle ? J’en rêve toutes les nuits !”
Le fils se tape une infirmière alors que son vieux père essaye lui de les draguer. Il arrive à ses fins en payant l’une d’elle (Sylvie Courtois). Elle commence à branler sa petite bite molle, un bisou sur la joue hop notre papy cochon est content.
L’infirmière se vante de l’argent qu’elle a gagné auprès d’une collègue :
“J’ai été tirer une petite branlette au pépé dans les toilettes, tu aurais vu sa tête.”
Sa collègue lui dit qu’elle a vendu sa culotte, l’infirmière veut vérifier, en effet elle n’a plus de culotte, mais elle ne peut pas faire ça, parce qu’elle n’en met jamais !
La conversation avance et dérape, les deux collègues décident de comparer leurs poitrines :
“Oh ! T’as de très beaux seins,
-Toi aussi t’es pas mal
-je vais te câliner un petit peu
-Tu me lèches bien !
-Tu aimes ça ?
-Oh oui !”
Maintenant complètement nues, voilà que nos deux infirmières font plus ample connaissance.
Léchage de boobs, tripotage de minous, langue sur clito tout y passe même le petit trou. Et ça y va de la langue et ça y va des doigts.
Le docteur JPA à moins que ça ne soit le fils de M. Merle, toujours dans les bons coups, arrive, dans ce vestiaire, il se fait sucer, il emmène les deux infirmières sur un canap histoire d’être plus à l’aise. La brune le suce, il roule une pelle à la blonde et vice versa.
Et hop voilà qu’il pénètre la blonde en levrette qui elle, suce les seins de sa copine.
Vient le tour de la brune de se faire baiser, pendant que la blonde se branle. Il retourne très rapidement à la blonde pour une enculade.
La brune se branle en regardant la scène. Heureusement, son tour viendra et elle aura également le droit à sa sodo.
Mais c’est bien avec la blonde qu’il se terminera. Généreusement il arrose de son foutre les deux visages.
On comprend, en tout cas je crois comprendre à ce moment-là que quand la standardiste monte à l’étage c’est également pour se faire tringler par le fils Merle qui siffle au clair de la lune en bandant. (ouais, cette phrase est bizarre, regardez le GIF un peu plus haut)
De retour à son accueil, M. Merle père la supplie de lui faire un strip-tease.
C’est le cœur sur la main que cette sainte femme s’exécute. Mais c’en est trop pour ce vieux monsieur. Il fait un malaise ! La standardiste prend peur et appelle la doctoresse.
Sans transition la doctoresse se retrouve avec deux bites en bouche, celle du fils de Monsieur Merle et celle de Philippe Soine (on ne sait pas d’où il sort… Il devait passer par là…) Elle suce se fait prendre en levrette tout en suçant l’autre puis vient une double péné (anale et vaginale) pour faire gicler ces chibres sur ses gros seins qu’elle nettoiera avec sa langue.
Fin.
Synthèse
La doctoresse a des gros seins est-il un bon film ? Je suis dubitatif…
Le scénario est très simple basique même…
Les scènes de cul bien que hard, avec de la grosse sodo en veux tu en voilà du fisting etc. ne sont pas vraiment bandantes. (du point de vue de mon barreau mètre), Mais, on ne peut pas enlever que la doctoresse a des gros seins est le pionnier du genre, et cette beauferie volontaire, jusqu’au titre en fait un film finalement sympathique. Je ne serais pas contre voir les suites.