Présentation
Le lit d’Élodie est un film de J. Helbie cette VHS porno sortie en 1984 et c’est notre première chronique d’un film Marc Dorcel.
Fait étonnant il y a plus de mecs que de filles dans ce film sinon pas grand chose de croustillant à dire de plus.
Au casting on retrouve Cathy Stewart, star de l’époque qui joue la sœur d’Élodie, Jacques Marbeuf qu’on a déjà croisé dans Les délices de l’adultère un acteur qui a la particularité de faire du cinéma X et du classique. Elodie est interprétée par Marie-Christine Chireix. On espère la retrouver dans d’autres films pour voir si son jeu d’actrice est toujours aussi mauvais…
L’analyse de Vagina Sky
Tout d’abord, je tiens à m’excuser auprès de vous chères lectrices et chers lecteurs. Si cette chronique n’est pas sortie, c’est entièrement de ma faute. J’ai mis du temps à me motiver pour la rédiger et je m’excuse à nouveau pour sa médiocrité.
Dès le début, on sait que ce porno sera pénible au niveau de l’histoire. On espère que les scènes de cul relèveront le niveau mais rien n’y fera. Pour résumer ce film : ennui mortel et bâillements intempestifs.
La première scène nous dira tout : le jeu désolant de l’actrice principale qui interprète une bourgeoise (Elodie) qui se met la race avec quatre petits verres de cognac après avoir appris que son mari la trompait (elle a de la chance cela dit car personnellement, mon rapport quantité/cuite est bien plus élevé, donc plus onéreux…Bref). Gros problèmes pour poser sa voix et avoir le ton juste et je dois avouer que j’ai rarement vu quelqu’un d’aussi inexpressif. A défaut d’être crédible, elle m’aura quand même fait rire. A mon sens, le pire du film arrive direct après. On a droit au bon vieux cliché du clochard rubicond. Et pour la première scène de cul… Vous avez deviné ? Eh bien le sans-abri va troncher la bourgeoise en pleine rue… sur des poubelles. Quand il prend du plaisir, on a l’impression qu’il va dégobiller sa piquette sur madame. Trop cool hein ? Ça vous fait rêver ? Ouais moi aussi… Vivement la suite…
Pendant 1h15, le spectateur sera le malheureux témoin d’un film avec une histoire d’amour brisée complètement sous exploitée et de femmes pratiquant un meilleur headbanging qu’une simulation de jouissance crédible pendant les scènes de sexe. En effet, à peine pénétrées, elles se tordent de plaisir, secouent la tête de gauche à droite et de droite à gauche en criant copieusement. Impressionnant ! Tu te dis « waw l’acteur charbonne dur à l’intérieur » mais en fait non, c’est juste surjoué à fond et ça coupe net l’excitation qui était potentiellement envisageable. Je dis bien potentiellement car de plus, les scènes de sexe sont courtes et terriblement ennuyeuses.
Pour le déroulement de l’histoire, tout est très moyen. Elodie a donc été trompée par Laurent, son mari et part se confier à sa sœur. Elles décideront de se changer les idées en allant passer le week-end chez leur père qui vit avec leur demi-frère Guillaume. Là encore on aura droit a du cliché : le père de famille, un bourgeois qui vit à la campagne se promène toujours avec une cravache d’équitation alors qu’on ne verra pas la queue d’un cheval dans le film. A son service, une domestique qui fera, vous vous en doutez, quelques faveurs à son employeur ne se cachant pas d’avoir été un gros cochon lubrique contrairement à son fils, qui au passage porte à merveille la raie sur le côté et le pull à coudières sur les épaules, est paraît-il difficile à déniaiser. Quand les sœurs arrivent chez leur papounet, on comprend tout de suite que Guillaume tombe sous le charme de sa demi-sœur Elodie qu’il n’a vue qu’une fois il y a très longtemps. Petite scène de voyeurisme : Guillaume va regarder par la fenêtre sa sœur prendre sa douche. On est témoins, ses fesses seront bien propres ! Et bien entendu, arrive la scène d’inceste entre les deux protagonistes. C’est rapide mais bravo Guigui, tu as bien ramoné ta frangine car headbanging <mode ON> ! La sœur d’Elodie aura droit elle aussi à ses petites folies ! Pour les choses plus appréciables, je dirai l’actrice qui joue le rôle d’Hélène est trop choupie et rigolote. Il y a un petit côté théâtre dans son jeu. Et enfin, le happy-end (Oh pardon je vous ai spoilé…) mais qui ne vaut quand même pas les happy end de la série Walker Texas Ranger. Et oui… l’amour triomphe toujours !
Mais je vais m’arrêter là, c’est décousu, du grand n’importe quoi. Je ne veux pas perdre plus de temps à parler de ce porn insipide. Je vais aller fouiner dans notre collection de K7 et trouver un meilleur film à chroniquer pour le retour de Phallus Gump qui lui aussi est parti headbanger… mais au Hellfest !
L’histoire racontée par Phallus Gump
Une femme Marie-Christine Chireix picole seule au bar.
C’est Élodie elle noie son chagrin dans l’alcool, elle a appris que son mari Laurent interprété par Alban Ceray a une maîtresse…
En sortant du bar elle croise un stéréotype de SDF qui fait les poubelles.
Elodie très bourrée mais surtout très conne le prend pour un policier et lui demande son chemin. Ce brave SDF interprété par Yves Callas l’amène à son campement et partage sa bouteille avec elle.
Elodie est à son goût, il la déshabille et la pénètre sur la poubelle en pleine rue. Pour finir, il lui éjacule sur les bas.
Du coté de Laurent son mari c’est beaucoup plus glamour, il a passé la nuit avec sa maîtresse Olivia Flores.
Pendant qu’ils prennent le petit dej’ elle demande s’il va divorcer mais Laurent ne semble pas décidé et même être encore amoureux d’Élodie.
Elle lui demande de prouver son amour et le suce, lui, il la caresse et la lèche maladroitement. Il lui enlève sa culotte pour lui faire une feuille de rose avant de la pénétrer en levrette puis en cuillère avant de gicler sur sa touffe.
Dans la scène suivante nous avons un couple qui baise mais qui sont-ils ????
On sonne à la porte qui ça peut bien être ? Que de mystères dans cette scène…
À la porte c’est Élodie qui vient raconter ses malheurs à sa petite sœur (Cathy Stewart).
Ni une ni deux elle vire son amant du jour pour accueillir sa sœur.
Les deux sœurs décident d’aller voir leur père (Jacques Marbeuf).
Leur père est avec Hélène (Liliane Gray) sa femme de ménage, ce vieux cochon lui fait des avances.
Ce pervers de papa vit avec son fils Guillaume qui à l’étage regarde un livre de cul. Hélène le grille et se moque gentiment de lui.
Le père demande une gâterie à Hélène qui s’exécute aussitôt. Il explique qu’il va devoir jouer les papas modèles quand ses filles seront là, donc il en profite avant leur arrivée.
Il lui lèche les seins et lui caresse la chatte avant de la pénétrer en levrette et fait des compliments sur son petit trou. On apprend que ce « trousseur de bonniche » s’appelle Émile
Les deux sœurs sont sur la route, elles se font draguer par des mecs avant d’arriver chez leur père.
Arrivées chez papa elles rencontrent pour la première fois leur demi-frère Guillaume, qui direct, tombe amoureux d’Élodie. Elle l’intimide beaucoup.
Élodie monte ses affaires dans sa chambre et déchire une photo de son mari.
Le lendemain tout ce petit monde se réveille.
La sœur d’Élodie va faire un tour au village le père fait de même laissant Élodie et Guillaume seuls.
Élodie part se doucher Guillaume va la zieuter sous la douche. Voyeur le frangin !
La petite sœur au village très vraisemblablement sans soutien gorge (ça pointe à mort là-dessous) se fait draguer par un mec qui veut l’amener en boite le soir même.
Élodie sort de la douche Guillaume la regarde toujours, mais elle le grille et lui demande de venir fermer sa jupe.
Cette charmante famille réunie discute, papa dit qu’il ne sera pas à la maison ce soir il a bridge, la petite sœur va en boite et Guillaume lui au bowling.
On retrouve Hélène (la femme de ménage ! Suivez un peu…) chez elle avec son mec, un des dragueurs de la sœur sans soutif.
Hélène va passer à la casserole ! Un bisou, une pipe, un missionnaire, une levrette et hop l’affaire est faite !
Élodie seule dans sa chambre (oui le bridge, la boite le bowling suivez, merde c’est chiant) repense à son mari et recolle la photo. De son côté lui s’inquiète il n’arrive pas à la joindre !
Dans la nuit un homme rentre et fait peur à Élodie, vous avez deviné ? Bingo c’est Guillaume bourré de retour du bowling. Il tripote sa demi-sœur lui lèche les seins avant de la bourrer à son tour, il finit par lui éjaculer sur le ventre. Élodie dit à Guillaume d’oublier cette soirée…
Le mec d’Hélène va retrouver son copain en ville mais surtout la sœur d’Élodie !
Son pote d’ailleurs fait le coup de la panne et la tripote, on savait qu’elle ne portait pas de soutif, mais elle ne porte pas de culotte non plus la coquine !
Il la doigte, elle le suce, le mec d’Hélène se pointe et joue les voyeurs. Nos amants passent à l’arrière de la voiture ce qui permet de voir le voyeur. Il les rejoint pour un triolisme mais la sœur n’est pas ok mais qu’importe le consentement ! Le copain d’Hélène la pénètre assis sur le siège arrière et il la fait tourner à son pote…
Ils changent de position pour de la levrette à tour de rôle pour finir sur une double pipe.
Laurent lui est toujours à la recherche d’Élodie il la retrouve chez son père alors qu’elle essaye de lui écrire une lettre. Elle est heureuse de le retrouver scène de ralenti romantique suivi d’une scène d’amour. Pipe, cuni, et un missionnaire qui se termine en creampie.
Synthèse
Ce film est sans aucun doute le plus mauvais qu’on ait vu pour le moment ! L’histoire est mauvaise, le jeu des acteurs est horrible et les scènes de cul sont chiantes… Un calvaire ! Bon alors qu’est qu’on en retire ? Rien de bien positif vous l’aurez compris…
Ce film a la particularité d’avoir plus d’acteurs que d’actrices au casting, d’ailleurs les 4 actrices ont la particularité d’être très poilues.