Présentation
Réalisé en 1998 par John B. Root avec la participation de Canal+ Exhibition 1999 rend hommage au film Exhibition sorti en 1975 par Jean-François Davy un réalisateur pionnier du porno game.
On reconnait direct la signature du merveilleux John B Root avec ce message :
En suite nous avons le droit à un générique “Proud to be there” signée Luigee Trademarq, le musicien est d’ailleurs présent sur le plateau de la conférence de presse des actrices. Il fera également une apparition dans le huitième court métrage.
L’interview a été réalisée dans un club échangiste parisien, des journalistes des Cahiers Du Cinéma, Libération, Entrevue, Vital et Le Journal Du Hard vont aborder divers sujets avec neuf actrices porno, Chipie Marlow, Coralie Trinh Thi, Dolly Golden, Elodie Cherie, Fauvea, Karen Lancaume,, Magella, Olivia del Rio, Raphaella et Zabou
Chaque journaliste abordera des sujets très variés avec les actrices, elles répondront aux questions sans aucune barrière.
Entre chaque sujet abordé, les actrices présentent un court-métrage qu’elles ont écrit.
La pochette est précise : 9 scènes de sexe, 18 fellations, 15 pénétrations, 12 pénétrations anales, 4 scènes lesbiennes, 1 double pénétration, 1 gang-bang, 1 scène d’ondinisme, 16 éjaculations masculines, 1 éjaculation féminine, 10 décors, 11 actrices, 10 acteurs, 20 figurants… (perso on compte 13 actrices et 8 acteurs)
L’analyse de Vagina Sky
Aujourd’hui, c’est une chronique un peu particulière que je vais vous donner. Exhibitions 1999 n’est pas qu’un simple film de cinéma porno. Il est aussi un documentaire, un témoignage, une espèce de « vis ma vie » avec les tétons visibles en plus. Ce film est porteur d’un message, d’une sorte de mise au point sur l’idée que l’on se fait du métier d’actrice porno. Il était sûrement nécessaire il y a vingt ans, je crois qu’il est devenu indispensable aujourd’hui.
Exhibitions 1999 c’est deux heures de film alternant des témoignages de neuf des hardeuses les plus en vogue à l’époque et des courts-métrages porno basés sur les fantasmes de ces dernières.
On commence par une brève présentation où chaque actrice donne son nom, son âge, depuis quand elle a commencé le porno et enfin le nombre de films/scènes à son actif.
Elles répondent ensuite aux questions de journalistes venant d’horizons différents (Vital, Journal du Hard, Les Cahiers du Cinéma) où les thèmes de la vie privée, du préservatif ou encore des pratiques sexuelles seront abordés. L’échange se veut décontracté et sans tabous. Nous prenons plaisir à les écouter se livrer sans filtre, honnêtement, spontanément et avec beaucoup d’humour sur leur vision du métier. L’échange est à mon goût un peu bâclé à la fin, mais cela peut se comprendre puisque le film est déjà très long.
John B-Root a la ferme intention de convaincre le public que toutes ces hardeuses sont bien des actrices, de porno certes, mais des actrices. Certaines d’entre elles nous expliquent qu’elles se sont lancées dans le X parce que ça rapporte mieux qu’un boulot à l’usine et d’autres sont arrivées dans ce milieu par fantasme. Il en ressort un besoin de légitimer leur métier mais aussi de rappeler qu’il ne s’agit bien que d’un métier et qu’une fois hors des plateaux de tournage, ces femmes retrouvent leur quotidien, leur famille, leurs enfants, leur vie tout simplement. Cette mise au point est importante. Le message est clair, bien amené et a pour volonté de démystifier le porno, le rendre moins glauque peut-être et en donner une image moins crade. Bref un message qui était nécessaire il y a quelques années et qui l’est encore plus de nos jours. Je pense aux ados qui, par Internet, ont accès à des contenus pornographiques de piètre qualité et qui vont ensuite harceler les actrices sur les réseaux sociaux. Je pense aux associations féministes qui ont une notion de défense des droits de la femme parfois sélective et qui parlent à la place des actrices porno sans leur laisser la parole. Je pense aux patrons d’entreprise, capables de licencier une femme après la découverte de son passé dans le X. Je pense aux hypocrites, qui consomment de la pornographie à outrance mais qui crachent sur ces femmes qu’ils considèrent finalement comme des moins que rien. Pardonnez-moi, je m’emporte…
Concernant les courts-métrages, John B-Root a donc laissé libre cours aux envies et fantasmes des actrices. Chacune nous emmène dans son monde : un univers futuriste, un thème mythologique, une ferme avec plein d’animaux pour décor… Il y en a pour tous les goûts ! On n’est pas dans la performance à tout prix, mise à part une double pénétration et un gang-bang à cinq mecs, mais dans la douceur et la sensualité. On sent la touche féminine, ça change ! Des rapports sont protégés, d’autres non car certaines actrices tournent avec leur compagnon. John B-Root, qui milite pour un porno responsable l’a bien sûr mentionné au début du film.
J’ai beaucoup apprécié cette petite balade entre les désirs de chaque actrice, même si bien évidemment, je n’ai pas aimé tout ce qui était proposé. J’ai parfois eu l’impression d’assister à plusieurs scènes de vraie jouissance. Bien excitant tout ça !
Je ne ferai pas une critique pour chaque court-métrage, je vous renvoie aux descriptions de Phallus Gump et je vous invite vraiment à voir ce film si vous en avez la possibilité afin de vous laisser guider par des femmes. Cependant, cela ne m’empêche pas de vous parler de quelques scènes que j’ai aimées. Dans « Virus (Hard Metal) », Chipy Marlow m’a complètement transportée avec sa danse sexy et masturbatoire sur fond psychédélique rappelant les 60’s ou 70’s alors que la scène se déroule en 2765. Le décalage de cette scène m’a beaucoup amusée. Il y a aussi le ton comique pour « Pétassine », le trio lesbien avec des moments de jouissance qui semblent non simulée, la scène de cul des « Danseuses du bas-ventre » et, et, et… En fait beaucoup de choses très sympa. Débrouillez-vous pour le voir !
Les histoires racontées par Phallus Gump
Le 1er court métrage a été imaginé par Olivia del Rio et Karen Lanceaume :
« PINK » (les danseuses du bas ventre)
HPG joue un photographe. Ses modèles du jour vont le draguer très ouvertement !
Ce photographe veut du soft pour son client Saoudien, les filles ne l’entendent pas comme ça, elles s’amusent à l’allumer. Ces coquines se déshabillent pour le provoquer.
Si le photographe râle et les engueule, son assistant, lui est carrément partant pour faire de la photo porno…
A force de provocations, notre photographe n’est plus si sage. Les filles s’embrassent se déshabillent et se masturbent devant lui. Elles se lèchent, se font plein de bisous et de caresses ce qui nous offre une scène lesbienne très érotique et très jolie.
Elles demandent à HPG de poser son appareil et de les rejoindre. L’assistant s’occupe déjà de Karen avec un 69 acrobatique, Olivia suce HPG avant de venir s’asseoir sur sa bite.
Karen fait de même avec son amant tout en se masturbant. Ensuite, nos deux couples se font pénétrer en levrette.
Dans la scène suivante, ces deux jolies jeunes femmes se font sodomiser. En levrette pour Olivia et sur le dos pour Karen. Elles profitent de la position pour s’embrasser.
Les hommes se masturbent en les regardant s’occuper l’une de l’autre dans une baignoire. Les mecs finissent par éjaculer dans leurs bouches.
Alors on n’avait pas raison ? Disent les filles.
Le second court-métrage et celui de Zabou :
« L’amie des animaux » (la fermière apprivoisée)
La scène commence avec des dindons et des poules. Zabou au milieu nourrit cette basse-cour.
On la voit jouer avec des chiens, brosser un poney, ramasser les œufs.
Un fermier « Marco » rentre dans le poulailler « qu’est ce que t’es belle » dit-il, « toi aussi t’es beau » répond-elle.
Elle fait toucher ses seins à Marco le malhabile, très gêné de cette situation. Zabou prend les devants en l’embrassant. Marco prend de l’assurance et lui caresse la poitrine mise à nue. Il passe même entre ses cuisses pour la lécher et en profite pour tester le terrain de ses doigts.
Zabou lui enlève son pantalon et lui rend cette caresse buccale.
Marco dit être puceau, elle vient se mettre sur cette bite bien bandée avec plus d’assurance notre fermier la prend debout en levrette.
Un homme rentre dans la grange c’est M. Bruno. Zabou lui dit de s’approcher. Marco prend peur et veut partir mais elle lui demande de rester et de continuer à la prendre en levrette pendant qu’elle sucera M. Bruno.
Elle suce maintenant les deux chibres tendus pour elle en même temps.
Allongé sur le dos dans la paille Marco rebaise Zabou qui suce Bruno
Elle se place sur Marco en 69 pour le faire venir dans sa bouche. M. Bruno, lui, vient cracher sa jouissance sur son visage.
Tout ce petit monde est content Zabou peut retourner à ses occupations agricoles
Le 3ème court-métrage est signé Fovea
« Aphrodite s’ennuie » (olympe oh désespoir)
La scène se déroule dans l’Olympe, ah l’Olympe ! Aphrodite trouve ça « ennuyeux » Zeus quel raseur…
Elle demande à une servante de la masser, celle-ci aussi nue que la déesse commence par les fesses d’Aphrodite, elle se retourne sur le dos et offre ainsi l’intérieur de ses cuisses à la masseuse
Notre déesse de l’amour demande à sa servante de se servir de sa langue, aux ordres de sa maitresse elle vient lécher le fruit fendu d’Aphrodite qui se caresse les seins.
Notre déesse se met à genoux sur la table de massage pour laisser l’accès à tous ses trous à sa lécheuse. Mais ça ne lui suffit pas, Aphrodite veut un homme !
La servante fait apparaître un mec déjà en érection en frappant des mains. Aphrodite le suce pendant que la servante continue son travail lingual et tactile.
Ça ne suffit toujours pas à la divinité, un autre étalon en érection apparaît et aussitôt il sodomise Aphrodite en levrette. La servante très excitée par cette scène se caresse en regardant les cochonneries de sa maîtresse avant de venir l’aider à sucer le 1er mec. Des positions s’enchaînent pour la Déesse qui vient de sa divine langue lécher la vulve de sa suivante.
Après une belle sodo le 2eme mec vient se placer pour une divine double pénétration.
Aphrodite a enfin l’air comblée !
La servante vient l’embrasser les hommes se retirent et viennent éjaculer sur leurs visages
La servante vient nettoyer de sa langue le visage de sa maîtresse.
Le 4ème court-métrage est écrit par Chipy Marlow :
« VIRUS » (hard metal) c’est un porno futuriste
L’intrigue se passe en 2765 sur la planète Centoria où un virus qui s’attaque aux amoureux durant l’orgasme fait des ravages.
Chipy chante avec un vibro mais ne s’en sert pas seulement de micro…
Elle explique que plus personne n’ose se regarder de peur de tomber amoureux. Scientifique elle pense avoir trouvé un remède mais pour tester son efficacité il faut qu’elle jouisse !
Elle s’acoquine et suce le premier collègue venu avant de se placer en 69. Ce dévoué scientifique pénètre sa collègue en levrette, sur le dos les jambes relevées puis elle vient s’asseoir sur lui.
Il s’occupe de l’anus de la chercheuse, elle a l’air de vraiment prendre son pied !
Une fois cette sodo effectuée dans toutes les positions elle vient sucer monsieur tout en se masturbant. Ce remède à l’air efficace ! Feu d’artifice de sperme dans la bouche de la Marie Curie de Centoria pour fêter ça !
Dans le cinquième court-métrage, Raphaëlla, enfile la casquette de réalisatrice dans :
« Reality Show » (amie de la poésie bonsoir)
Raphaella fait passer un casting à deux débutantes dans le X pour en faire des « lesbiennes convaincues ».
Notre réalisatrice d’un jour, cigare à la main, met ces deux filles assises sur un lit à l’aise en leur proposant du champagne.
Elle demande aux débutantes de se présenter et de laisser leurs fantasmes s’exprimer.
La première fille s’appelle Manuella, elle a 19 ans et est là par fantasme d’exhibition. De plus, elle pense aux femmes durant ses plaisirs solitaires.
La deuxième fille s’appelle Maya. Depuis longtemps elle veut tenter l’expérience du film et de la femme… Surtout de la femme !
Raphaella demande à ses actrices en devenir de se montrer un peu à l’objectif. Maya assez timide relève un peu sa jupe, Manuella a l’air moins téméraire et retire sa culotte elle dit qu’elle aimerait caresser et lécher une femme.
Raphaella coupe sa camera et demande à la maquilleuse un « raccord chatte ».
Manuella est maintenant complètement nue et commence à se toucher « écarte les jambes et branle toi pour ma camera » lui dit notre réalisatrice. Manuella s’exécute…
Raphaella demande à Maya un striptease bien hard. « tu te caresses la chatte tu te rentres un doigt à l’intérieur ».
Elle enlève sa culotte et se caresse devant la camera, Raffaella demande à Manuella de venir glisser sa langue sur le sexe de Maya. Les femmes commencent à se faire l’amour et à se branler mutuellement.
Raphaella en veut plus ! Elle veut de la pénétration linguale, du 69 !
Maya est très excitée par la situation et quand elle est trop excitée elle a envie de faire pipi ! La réalisatrice ne perd pas une miette de cette scène d’ondinisme et lui demande de se caresser avec une rose en même temps.
A la demande de Raphaella les filles se placent en 69 et là SURPRISE ! Maya sort la rose de son vagin…
« t’es très surprenante Maya ».
Le 69 commence la réalisatrice demande une fleur d’anus :
« tu nous as fait une fleur vaginale, fais-nous une fleur d’anus, vas-y lèche-lui le cul, rentre ta langue dans ses fesses ».
Les futures actrices remercient Raphaella pour sa perversité et se masturbent avec des vibro. Elles se baisent, Maya met le vibro dans l’anus de Manuella.
« oui t’es belle aussi à l’intérieur ».
Raphaella très excitée par sa mise en scène retire sa petite culotte et son haut puis lâche la camera et vient les rejoindre.
Elle offre son sexe en se plaçant sur la bouche de Maya qui continue de sodomiser Manuella avec un gode.
Un trio lesbien d’enfer !
C’est au tour de Raphaella de se faire pénétrer par ses actrices. S’ensuit un baiser à 3 langues très sensuel !
« branle-moi chérie crache-moi sur la chatte »
« mange comme à la maison chérie »
Les deux novices s’occupent à la perfection de leur merveilleuse professeure.
Raphaella veut faire jouir Maya…mission réussie ! Elle vient inonder de sa cyprine ses copines qui se masturbent en la regardant.
Maya demande si elles sont engagées, réponse positive de la réalisatrice :
« Les filles demain on tourne la scène, vous êtes prêtes ! »
Scène 6 de Coralie
« Jeux de mains jeux de vilaines » (têtes à claque)
Coralie et une copine interprétée par Melissa sont nues sous des impers colorés.
Commence alors un jeu avec la camera tel un POV. Elles nous rejoignent dans un fauteuil se déshabillent et jouent les allumeuses.
Le mec dans le fauteuil (et oui fin du POV) n’a pas le droit de toucher. Elles le déshabillent, lui font comprendre qu’il doit rester très docile !
Elles le jettent sur un lit, s’embrassent puis l’embrassent. Elles lui caressent très sensuellement la verge et commencent à le sucer à deux langues. Melissa vient placer sa vulve sur sa bouche pendant que Coralie le suce. Elle pique la place de sa copine et ainsi profiter de la langue de leur victime. Sa copine vient se pénétrer sur la bite du soumis.
Changement de position pour passer à une levrette ce qui permet à Melissa de venir lécher Coralie sur tout le corps ! Changement de rôle ! Coralie veut aussi être possédée par le sexe de cet homme objet pendant qu’elle se fait lécher les seins.
Les rôles changent à nouveau avec en prime une sodomie pour Melissa.
Une fois de plus les rôles s’inversent. A Coralie de se faire sodomiser pendant que M. lèche la deuxième.
Les deux copines se mettent à sucer monsieur et il en résultera une éjaculation au visage de ces deux coquines !
Le septième court-métrage est signé Dolly Golden, un porno futuriste intitulé
« Time sex brigade » terminatrice 1
En 2027 à cause de la pornographie, l’onanisme a pris le dessus sur les rapports sexuels ce qui engendre un gros problème de natalité !
La « time sexe brigade » voyage dans le passé pour éradiquer ce fléau de l’ère de la branlette !
Accompagnée de deux gros bras, Dolly se rend chez un réalisateur de porno. Ce real se branle sur son canapé en regardant un porno. Un fléau cette pornographie !
« alors vous faites des pornos ? Pourquoi pas l’amour vous avez 10min pour me faire jouir ! Sinon COUIC »
Le Menace Dolly Golden, elle vient le sucer sans même le consulter ! Le réalisateur commence rapidement à la doigter et se place en 69 avec un doigtage de petit trou pour notre Terminatrice. Dolly vient ensuite s’enfiler sur sa queue sous les yeux blasés de ses collègues de la brigade qui préfèrent même faire une sieste.
Toujours assise sur ce dard elle se pénètre analement (c’est pas comme ça que la reproduction va fonctionner Dolly !).
Ses collègues arrivent à s’endormir malgré ses cris de jouissance alors qu’elle est sodomisée en levrette mais oui elle arrive à jouir !
Elle fait gicler la queue de ce real dans sa bouche et le félicite « c’était très très bien cette fois on te buttera pas mais fais attention on va revenir tous les mois pour vérifier que tu tapes des gonzesses et que t’arrêtes les films pornos »
Et là, surprise, changement de décor et retour à la réalité, Dolly faisait en fait un rêve à cause de son mari qui regarde trop de porno !
Le 9ème court-métrage est imaginé par Magella
« NIGHT FEVER » (samedi ça te dit?)
C’est un remake de la scène de boite de nuit dans basic instinct
Dans ce club on entend la musique du générique « je suis fier d’être là »
On retrouve tous les acteurs qui dansent et même un cameo de John B Root
Magella va dans un salon privé. Elle est rejointe par un homme qui veut la toucher elle lui fait comprendre qu’elle veut voir la marchandise avant ! Elle se caresse au travers de son pantalon blanc et laisse s’échapper un sein pendant que l’homme se masturbe en la regardant.
Elle fait couler du champagne sur son sexe et vient récupérer ce précieux nectar en le suçant.
Le couple très occupé à se masturber en face à face est observé par un autre homme. L’homme vient déguster la vulve de Magella champagne ! Le voyeur lui se branle en les regardant.
Magella suce son amant avec une capote avant de s’enfiler dessus, elle fait signe au voyeur de les rejoindre. Il s’assoit à côté et Magella le prend en main.
Elle vient ensuite sucer son premier amant pendant que le voyeur la prend en levrette. Formule complète : anal et vaginal et en buvant du champagne !
Son premier partenaire crache son plaisir sur ses seins, le deuxième sur son petit mon velu.
Le dernier court-métrage est écrit par Elodie Cherie qui a voulu faire un porno comique :
« PETASSINE » (soit gentille avec nous)
Et comme nous aussi on veut être gentils avec vous et qu’une vidéo remplace bien des mots :
Synthèse
Wahou ! Tout simplement génial, ce film raconte exactement ce qu’on veut dire sur ce site ! Merci John B. Root pour nous LE meilleur réalisateur de porn au monde ! Bien entendu vous pouvez vous procurer le film sur son site officiel https://www.explicite.com/fr/video/45/film-porno-exhibitions-99.php